Le but du jeu est d'allumer les 2 torches et d'ouvrir le grand portail (cercle à droite). Pour cela vous devrez effectuer une suite d'actions dans un ordre bien précis que vous devez découvrir par vous même. Tips : …des fois il faut cliquer plus d’une fois sur les éléments, des fois le timing et hyper important et des fois il y a des icones bonus dissimules dans les murs . Essayez de ne pas tuer trop de p’tits bonzhommes ils n’y sont pour rien, eux, si vous n’êtes pas doué …. C’est carrément prise de tête, je vous l’accorde … un défi dur à relever mais possible ; je me suis arrachée quelques bonnes poignées de cheveux mais j’ai trouver « la soluce » …alors comme d’hab’ … vous savez ce qu’il vous reste à faire …Lien direct :http://www.foon.co.uk/farcade/hapland/
Si je vous dit Snakes on a Plane, ça vous dit quelque chose ? Non, eh bien ça va changer…il s’agit du film much anticipated, qui sera à l'affiche cet été et mettra en vedette Samuel L. Jackson. Il est aussi l’illustration parfaite de l'influence grandissante des blogues sur le cinéma et l’actualité en général
"In recognition of the unprecedented Internet buzz for what had been a minor movie in their 2006 line-up, New Line Cinema ordered five days of additional shooting in early March 2006[6] (principal photography had wrapped in September 2005). While re-shoots normally imply problems with a film, the producers opted to add new scenes to the film to take the movie from PG-13 into R-rated territory and bring the movie in line with the growing fan expectation. Among the reported additions is a vulgar line that originated as an Internet parody of Samuel L. Jackson's traditional movie persona: "I want these motherfucking snakes off the motherfucking plane!"
Le film n'est pas encore à l'affiche mais les parodies, les produits dérivés etc , sont déjà présents partout sur le Web! Wired a rassemblé les plus intéressantes d'entre elles ici. Vous pouvez obtenir le tee shirt didactique Snakes on a Plane (si si ) ici. Vous pouvez aussi consulter , un “ Live Journal” entièrement consacré au futur (mais déjà proclamé) film #1 de l’été prochain.
Alors moi perso l’histoire de base * me branchouille moyen, un Pacific Air Flight 121 réchauffé ça me tente guère mais il est fort à parier que ce rabattage blogatique va leur rapporter un tas de pépettes… le marketing viral gagne du terrain… vous verrez ce n’est que le début …
* SYNOPSIS DU FILM : On board a flight over the Pacific Ocean, an assassin, bent on killing a passenger who's a witness in protective custody, let loose a crate full of deadly snakes. Je suis d’humeur taquine aujourd’hui alors je fais exprès de le mettre en anglais …
Lecture chaleureusement recommandée par BARBERYLANE, je viens de terminer le 1° tome (le proscrit) d’une saga qui en comprend 5. Un peu déconcertant au départ, même les « non- amateurs » de sci-fi pourront se laisser séduire par cette histoire qui révèle une très grande imagination. Une fois de plus je suis ébaubie (si si !! ) par la créativité de certains auteurs … Je suis sure que comme moi vous vous êtes souvent exclamé « mais où va-t-il (elle ou ils…) chercher tout ça ? » !!!.
D’autant que là tout est très bien construit et structuré . complots, grandes batailles, intrigues, forces naturelles, surnaturelles et technologiques qui s’affrontent : tout y est. c’est un mélange savamment dosé de space-opéra, de cape et d’épée, avec un brin de hard science et une touche d’humour et de sarcasmes … un espèce de fusion entre starwars, le seigneur des anneaux et albator … . On « rentre » très facilement dans l’histoire , un judicieux équilibre entre les points de vue des différents protagonistes nombreux et très … « hétéroclites » (c’est le moins que l’on puisse dire)…
L’histoire : Depuis sa capitale de Golgotha, l'impératrice Lionnepierre, " la Garce de fer ", fait ployer sous son joug l'empire interstellaire des hommes. Du plus humble de ses sujets jusqu'aux maîtres des grandes familles, tous redoutent ses décrets.
Ainsi commence la saga d'Owen Traquemort : son fief lui est ôté, sa vie est mise à prix, son nom même est proscrit. Et lui, davantage porté vers l'étude et les plaisirs que la vie politique d'un grand seigneur, doit s'enfuir vers Brumonde, seule planète rebelle à la loi de l'Empire. C'est là, en compagnie de hors-la-loi et d'exclus, qu'il fera le premier pas vers la destinée qui lui est promise depuis toujours.
Premier roman traduit de Simon Green, Traquemort est un grand opéra de l'espace, roman d'aventures, de cape et d'épée, où tous les thèmes de la science-fiction s'entrecroisent en un cocktail éblouissant.
Un vrai bon roman de science-fiction comme on les aime, riche, très riche et plein d'action ! conclusion logique : il me tarde de lire le tome 2 !
NORAH JONES quitte un moment l’univers du jazz pour une petite escapade musicale ay pays de la musique traditionnelle américaine. Reprises de classiques, chansons originales, ambiance saloon et country … mais pas toute seule. Pour l’occasion, elle œuvre avec Lee Alexander (bassiste et accessoirement son petit ami), Jim Campilogo (guitare électrique), Richard Julian (guitare, voix) et Dan Rieser (batterie). Laissez vous charmer par Roly Poly de Fred Rose, I Gotta Get Drunk de Willie Nelson, Best Of All Possible Worlds de Kris Kristofferson (d’ailleurs, il faudra que je vous reparle de lui, je l’écoute en boucle en ce moment …), No Place To Fall de Townes Van Zandt etc …
La joyeuse équipe de copains avaient loué The Living Room (fameux club de New York) l’espace d’une soirée, histoire de s’éclater et ils ont décidé de poursuivre l’aventure … Une sympathique parenthèse en attendant le prochain opus de la jeune diva, dont la voix colle cependant parfaitement à ce registre . Le répertoire blues et country américain va comme un gant à la belle Texane.
Un album au charme désuet qui donne envie de mettre un stetson (j’en ai ramené un de mon dernier séjour « overseas ») , de s’asseoir dans un rocking chair (bon ça j’ai pas …) et de regarder le soleil se coucher …
" Il importe de pratiquer l'autoexamen afin d'apprendre à mieux comprendre le point de vue d'autrui tout en se comprenant mieux soi-même. La culture psychique passe par l'apprentissage de la connaissance de soi-même, de ses propres schémas de pensée, de la détection de ses motivations profondes. Dans notre culture française, cette tradition d'autoanalyse, qui va de Montaigne à Marcel Proust, reste très sous-développée. Alors qu'il devrait s'agir d'un enseignement de base dès les petites classes. Le continent le moins scientifiquement exploré est l'esprit humain, et chaque esprit individuel est pour lui-même sa suprême ignorance. La culture psychique consiste à dépasser l'égocentrisme et l'autocentrisme pour adopter des métapoints de vue sur soi-même, ce qui bien sûr nécessite aussi le regard d'autrui. "
Paroles du sociologue, philosophe et Directeur émérite au CNRS Edgar Morin, à qui Sciences Humaines consacrera, une nouvelle fois une interview, dans son numéro d'avril.
j’ai quelques jolies citations d’ Edgar Morin et notamment celle-ci (même si ça n’a rien à voir avec le reste) :
« Et ce qu'il y a de très beau, c'est que les paroles d'amour sont suivies de silences d'amour. »
Bon météo du jour : soleil qui joue à cache cache avec les nuages, petite brise légère mais un peu frisquette tout de même…
Lecture du jour : DALVA, le chef d’œuvre de JIM HARRISON, mais je vous en reparlerai
Musique du jour : LAKME l’opéra magnifique de LEO DELIBES …. Avec une nette prédilection pour l’interprétation de la divine MARIA CALLAS … la sompteuse histoire d’amour impossible entre un officier britannique et la fille d’un prêtre Brahma dans l’empire des Indes … vous connaissez forcément ne serait ce qu’avec la pub pour la 407 coupé …
Alors le jeu du jour, qui à moi me plait beaucoup, s’appelle rotation… inutile de vous donner plus de détails vous allez vite comprendre …
petite animation du jour …
Aujourd’hui je vous propose de visionner une petite animation multimédia qui s'intitule " Circle of life" et qui a été réalisée par Ilias Sounas.
Qu'est-ce que raconte ce film ? Différentes étapes de la vie d'un petit personnage qui court après le sens de la vie.
Bon a dire vrai je n’étais pas trop exaltée à l'idée de vous faire un petit post –sson d’avril (pas mal, Non ? et même pas piller chez un confrère, non non je viens juste de le trouver … ben quoi on a ses petites fiertés … mais revenons à nos … poissons et voilà que je recommence, décidemment je suis « en verve » aujourd’hui … ) et puis finalement je me suis dit allez va, « tu peux pas y couper ma fille » …
Voici donc un florilège bigarré de liens assez … surprenants … glanés ces derniers temps au fil de mes pérégrinations cybernétiques
une future psychopathe - québécoise (son phrasé est assez « symptomatique)- qui fait une drôle de collection …
Une nouvelle sorte de vanille est créée avec de la bouse de vache.. Vachement étonnant (l’article est en anglais désolée )
Une autre info improbable généreusement transmis– par un ami il y a quelques temps ..ici
Et the last but not the least, une petite perle …c’est le moins que l’on puisse dire … et
A découvrir sur Bulledair, les chroniques d'Everland. Le principe ? Des petits strips en hommage au formidable et varié monde de la bd. Avec tout un tas de clins d'oeil (affutés) à F. Peeters, Boilet, Larcenet...
Des questions sur la propriété intellectuelle, des interrogations sur les droits d'auteur? Qu'est-ce que l'usage équitable (fair use)? Une excellente introduction à ce sujet important et d’actualité …. Ici .
Il y a quelques temps déjà j’avais eu l’occasion de découvrir le chant diphonique (ou chant de gorge) au détour d’une émission. Un jour en me baladant à MONTREAL, je vois une publicité sur une groupe de femmes Inuits (je ne me souviens plus précisément , je vous prie de pardonner ma mémoire défaillante, ) qui se produisent à la cathédrale SAINTE CATHERINE …. C’est donc tout naturellement que j’y suis allée. Il m’en reste encore aujourd’hui une impression forte . c’était un spectacle étrange, captivant et envoûtant. Quelque peu déroutant au départ, mais au combien troublant. Imaginez des femmes qui chantent à tout de rôle face à face, produisant plusieurs sons à la fois au moyen d'une seule voix… Un bourdon grave est produit avec la gorge tandis que des harmoniques aigües sont produites simultanément par résonance. 2 femmes, debout, face à face, leur visage à quelques centimètres l’un de l’autre ( je n’en suis pas bien fière mais j’ai intérieurement espéré qu’elles utilisent un bon dentifrice ) se lançant un défi vocal au travers d’ un chant traditionnel emprunt de chamanisme …
Même s'ils ne sont pas originaires de la même région, c’est donc avoir plaisir que je vous présente aujourd’hui : HUUN HUUR TU.
HUUN HUUR TU est un groupe originaire de Tuva, une région sub-sibérienne aride, pratiquant un chant très particulier appelé Throat Singing ou chant diphonique. Les sons, donc, que ces hommes sont capables de produire sont sur deux tons...
Kargyraa, sur l'album Live 2001.
Originaires de cette terre enserrée de montagnes entre Sibérie et Mongolie, les 4 chanteurs musiciens reproduisent par leur chant de gorge le mysticisme de leur région. Grace notamment à de prestigieuses collaborations (Frank Zappa, The Chieftains, Ry Cooder, Kronos Quartet, Fun-Da-Mental…), ils ont faire decouvir (et evoluer) leur musique , qui pour nos esgourdes occidentales , pourrait évoquer une sorte de country blues extrême oriental. ils ont sorti quantité d'albums... allez sur leur site pour plus d'infos : www.huunhuurtu.com. en ce moment moi j'ecoute : IF I'D BORN AN EGALE et SPIRITS FROM TUVA (remixed).